Sujet: Agnès Douglas - L'Ecosse, rien que l'Ecosse ! Mer 28 Déc - 17:50
Agnès Douglas
TON PERSONNAGE
NOM & PRÉNOM(S) ♛ La demoiselle porte le nom d'Agnès. Elle appartient au clan Douglas ÂGE ♛ 27 printemps qu'elle foule le sol écossais DATE DE NAISSANCE ♛ elle est née le 12 mai 1715 ORIGINE ♛ Agnès est une Écossaise SITUATION FAMILIALE ♛ Elle est la nièce de l'actuel Laird. Elle fut fiancée à Robert Bruce en 1736, mais ce dernier est retrouvé mort sur le bord d'un chemin huit mois plus tard en janvier 1737. MÉTIER(S) ♛ Lady du clan Douglas GROUPE ♛ Les Chardon ardents évidemment comment cela aurait pu en être autrement CRÉDITS ♛ fassylover
LE JOUEUR
PSEUDO WEB ♛ Elynore ÂGE ♛ 24 ans COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ♛ les partenaires de The Thorn Birds TON PERSONNAGE EST-IL FICTIF OU HISTORIQUE ♛ Fictif AS-TU PRIS UN SCENARIO, PV OU INVENTE ♛ Scénario d'Elizabeth Brandon AVATAR ♛ Heida Reed
Prête allégeance à ton Laird
QUE PENSES-TU DES HIGHLANDERS ? ♛ Les Highlanders, Agnès en pense beaucoup de choses. Ils l'a font rêver, la fascinent et lui font un peu peur aussi à dire vrai et pour la jeune femme, ce sont des écossais. Mais Agnès se gardera bien de leur dire en face. Elle les sait trop sensibles à ce sujet. Pourtant il faudra bien qu'ils admettent qu'ils sont des écossais tout comme les Lowlanders, non ? Les Highlanders et les Lowlanders doivent s'unir pour le bien de l’Écosse et Agnès est bien décidée à le leur faire comprendre.
QUE PENSES-TU DE L'INVASION ANGLAISE EN ÉCOSSE ? ♛ L'invasion Anglais, une catastrophe pour tout écossais digne de ce nom. Agnès déteste les anglais, tous les anglais et sa belle-sœur ne fait pas exception. Non seulement la Rose a envahi l’Écosse, mais ils osent croire que les écossais vont se laisser faire. Il est grand temps de les remettre à leur place, à savoir au dehors des frontières. Et même si son Laird soutient les Anglais jusqu'à avoir fait épouser à son jeune frère une anglaise, Agnès ne l'entend pas ainsi.
LE ROI JAMES STUART DEVRAIT-IL RÉGNER SUR L’ÉCOSSE SELON TOI ? ♛ Le roi James Stuart est le seul et unique roi légitime pour le trône d’Écosse. Les Anglais n'ont rien à y faire. Pour Agnès, seul les descendants de Marie Stuart sont dignes d'être roi. Agnès ne comprend pas pourquoi les siens s'obstinent à soutenir cet Anglais. Elle trouve d'ailleurs plus qu'illogique que les Anglais ne comprennent pas que les écossais ne veulent pas d'eux sur leur trône. Après tout, ils ne voudraient pas d'un Écossais sur le trône d'Angleterre, non ?
« une citation badass ici »
Dernière édition par Agnès Douglas le Sam 31 Déc - 10:58, édité 6 fois
Elynore
♛ Arrivé(e) en Ecosse le : 28/12/2016 ♛ Messages : 515 ♛ Crédits : Zuz' ♛ Personnages principaux :
Agnès Douglas - Fille aînée de Laird - Jacobite - Catholique - ex-fiancée d'Alistair MacKintosh (toujours amoureuse) - Présentation
Sujet: Re: Agnès Douglas - L'Ecosse, rien que l'Ecosse ! Mer 28 Déc - 18:04
Un oiseau aux ailes brisées !
15 Janvier 1737,
La jeune Agnès Douglas attendait là, dans sa chambre que le temps passe. Huit mois que la jeune femme était fiancée. Son cher père lui avait annoncée le lendemain de son vingt et unième anniversaire, le 13 mai 1736. La jeune femme avait évidement mal pris la nouvelle, du moins au départ. Ses rêves de liberté s’envolaient en fumée. Agnès n’était pas une femme stupide, elle avait toujours su que ses rêveries ne resteraient que des songes inaccessibles à partir du moment où elle se marierait. Mais entre le savoir et le vivre finalement, il y avait un monde. Un pas qu’elle avait franchi. Mais voilà que le bel homme s’en était allé. Elle avait pourtant appris à un peu l’aimer, à se faire à l’idée d’épouser un homme. Il avait dix ans de plus qu’elle, mais au moins, ce n’était pas un anglais. Et pour cela, elle savait qui remercier, sa mère, et plus étrangement, sa tante, Jane. Elle s’entendait pourtant bien avec ces maudits anglais, tout comme son oncle, Archibald, le laird. Mais il fallait croire qu’être la fille d’un bâtard, n’était pas assez digne pour épouser un anglais, et puis elle était… une femme.
17 Janvier 1737,
Deux jours qu’elle n’avait pas de nouvelles, deux jours que la fille de John Douglas attendait un homme qui ne revenait pas. Deux jours qu’Agnès espérait qu’on vienne la délivrer de ce supplice et finalement, cela arriva. Son regard fut attiré vers la fenêtre. Pressentiment peut-être, la brune se leva et s’y approcha. Un cavalier avançait dans la cour du château des Douglas. Agnès attrapa la cape posée sur sa malle et se précipita à l’extérieur de sa chambre. Elle dévala les escaliers et entra en trombe dans la salle où son père invitait toujours les invités de la famille. Parce qu’il ne pouvait s’agir que de cela, n’est-ce pas, un invité, rien de plus ?
Agnès resta néanmoins à proximité de la porte attendant que son père ait terminé avec l’homme. Mais la jeune femme n’attendit pas assez longtemps à son goût. C’était étrange comme l’inconnu avait quitté vite son père. Et puis ce regard, ce regard que son géniteur lui lança. John Douglas s’approcha de sa fille et lui tendit un pli. Et alors qu’elle s’apprêtait à le lire, son père lui révéla la terrible nouvelle. Mort, retrouvé mort au bord d’un chemin. Cette fois-ci, la belle Agnès Douglas ne trouva rien à redire. Sa répartie s’en était allée. Il ne lui restait plus que ces larmes amères qui lui montaient aux yeux. Spectacle détestable pour celle qui voulait paraître aussi forte qu’un homme. Agnès quitta précipitamment les lieux, trop honteuse d’ainsi dévoiler une faiblesse qui n’avait pas lieu d’être. Robert Bruce, elle ne le connaissait pas tant que cela finalement. Alors ce fut qu’un mois plus tard qu’elle se décida à enfin lire le pli que son père lui avait remis ce jour-là. Fébrile, Agnès déplia le papier et commença à lire.
« Agnès,
Pour nous, pour votre sécurité, je n’ai plus d’autres choix que de partir. Je vous ai vu si souriante l’autre jour, si heureuse. Je n’ai pu me résoudre à briser un si bel oiseau. Vous rêvez de tant de choses et moi je ne peux vous les offrir. Vous savez ma cause et parce que je tiens à vous, je ne peux vous entraînez avec moi dans ma chute. Elle est morte, Madame, elle est morte et je ne peux vous imaginez périr avec elle. Je vous en prie, oubliez-la, ou si vous ne pouvez, faites comme vos parents le font si bien, cachez vos sentiments.
Agnès, ne cessez jamais de croire en vos rêves, ils sont si beaux. Restez la femme que j’avais plaisir à voir et à entendre. Mais surtout de grâce, restez vivante. Pour moi, pour nous, pour tout ce que nous n’auront pas construit et enfin pour vous.
Votre aimé, R Bruce »
* * * *
Les mains tremblantes de la jeune femme avaient replié rapidement le papier. Ne pas changer, elle le lui promettait bien volontiers. D’un revers de main elle essuya rageusement les larmes qui coulaient à nouveau le long de ses joues. Mais là où son fiancé lui avait fait promettre d’être prudente, elle s’excusait par avance de devoir lui désobéir. Robert Bruce avait été un jacobite, et à son contact, la brune avait renforcé sa propre foi en cette cause qu’il venait de lui désigner comme morte et sûrement perdue d’avance. Mais Agnès n’était pas de celles à abandonner aussi facilement. Elle ne l’avait jamais été. Depuis sa naissance le 12 mai 1715, Agnès Douglas avait toujours eu un fort caractère. Certains disaient que c’était parce qu’elle avait vu le jour au printemps, lorsque les fleurs se rebellent contre le froid de l’hiver. Lorsque la nature offre sa plus belle des victoires. Agnès était comme cela, une fleur rebelle qui luttait pour ses rêves. Ses rêves, la Brune aimait s’imaginer, courir dans les herbes hautes des campagnes, écrire des petites histoires où son imagination pouvait voguer à sa guise, jouer aux bords des rivières, être aussi libre de ses mouvements que les oiseaux. Les oiseaux, elle les aimait tellement. Ces créatures du ciel qui vont là où ils veulent, capables d’aller au bout du monde pour peu que leurs ailes les y amènent. Agnès était aussi une jeune femme pleine de vie, souriante et riante, du moins avec sa famille et les écossais. Mais elle n’aimait guère les anglais et elle ne se gênait pas pour le faire remarquer à son Laird et oncle. Il était bien trop ami, à son goût, avec ces hommes qui les avaient envahis. Agnès se devait néanmoins de rester à sa place lorsqu’elle était à l’extérieur de la demeure familiale du clan Douglas. Elle avait beau être franche, elle n’était pas assez stupide pour mettre en porte à faux les siens.
Agnès n’avait pas tout compris au départ. Et puis petit à petit, elle remarqua que c’était son fort caractère qui plaisait à Robert. Si je ne connaissais pas votre nom, je jurerais que vous êtes fille d’Highlanders, qu’il disait. Agnès n’y croyait pas. Elle ne les connaissait pas, mais une chose était sûre, ils la fascinaient un peu. Elle rêvait de pouvoir vivre quelques temps là-bas. Mais son père et surtout son oncle le refusait catégoriquement. Sans doute parce que l’on dit que là-bas dans le Nord, ils sont tous Jacobites ou presque. Alors la jeune femme finit par se résigner. Mais c’était un rêve qu’elle aimerait réaliser, quand elle pourrait.
Alors forcément, après la disparition de Robert Bruce, Agnès s’évertua à agir comme elle l’avait toujours fait, à un détail près. Elle aimait parler de la cause Jacobite avec ses deux cadets, et surtout George. Après tout, il n’avait qu’un an d’écart. Ils étaient proches tous les deux. Oh, pas inséparables, mais Agnès aimait veiller sur ses deux petits frères et George avec ses idées conservatrices sur la position de la femme, aimait taquiner sa sœur sur ses rêves de liberté. Et si dispute il y avait, elle ne durait jamais bien longtemps. Du moins jusqu’au jour où elle apprit qu’il allait épouser une anglaise.
« Grotesque, cela est parfaitement grotesque ! » avait-elle alors hurlé dans sa chambre lorsqu’on était venu lui annoncer la nouvelle. Son oncle avait eu là l’une de ses plus stupides idées. Déjà qu’il faisait «ami-ami» avec ces maudits anglais, voilà qu’il obligeait SON petit frère à en épouser une. Agnès avait vu rouge et il lui avait fallu un certain temps pour retrouver son calme. C’était un jour de l’an 1741 et depuis ce jour-là, la Brune n’avait eu de cesse de faire regretter à sa famille cette alliance inacceptable à ses yeux. Et c’était sa pauvre belle-sœur qui en faisait le plus souvent les frais. Agnès qui savait se montrer des plus aimables avec les autres écossais, n’offrait à Elizabeth qu’un visage fermé et froid. Mais elle le méritait après tout, même si son comportement lui valait bon nombres de réprimandes de la part de son cher petit frère. Mais au font, elle le plaignait plus qu’autre chose. Évidemment qu’il n’était pas d’accord avec elle, cette anglaise, cette pimbêche comme elle l’appelait dans l’intimité l’agaçait au plus haut point. Ce n'était encore qu'une enfant et Agnès en était certaine, elle se voyait déjà presque l'épouse du Laird. C'était vrai, tant qu'Archibald n'avait pas de mouflets, John était le suivant pour être Laird et par conséquent, George aussi.
Mais pire encore, elle semblait avoir conquis le cœur de son petite frère. Ah le cœur des hommes était si faible. Une femme se pavane ou leur résiste et voilà qu’ils feraient n’importe quoi pour leurs beaux yeux. Et en même temps, c’était bon à savoir et Agnès ne l’oublierait pas, à ça, jamais. De toute façon les hommes n’étaient rien sans les femmes et la nouvelle des événements qui avaient eu lieu lors du bal dit «des princes» ne faisait que confirmer Agnès dans ses dires. Souffrante, elle n’avait pu y assister. Mais les nouvelles étaient affligeantes. « Les hommes et leur manque de discernement, ils finiront par tous nous faire tuer » avait-elle soufflé, en regardant le petit tiroir où elle avait soigneusement ranger les derniers mots de Robert Bruce six ans plus tôt.
« une citation badass ici »
Dernière édition par Agnès Douglas le Sam 31 Déc - 11:16, édité 26 fois
Invité
Sujet: Re: Agnès Douglas - L'Ecosse, rien que l'Ecosse ! Mer 28 Déc - 18:13
Prem's ! :006: Bienvenue sur le fo' avec ce super scénario :009: Bon courage pour ta fiche !
Elynore
♛ Arrivé(e) en Ecosse le : 28/12/2016 ♛ Messages : 515 ♛ Crédits : Zuz' ♛ Personnages principaux :
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Sujet: Re: Agnès Douglas - L'Ecosse, rien que l'Ecosse ! Jeu 29 Déc - 11:00
Ma belle-soeur adoréeeeeee :001: :001: :001: :001: :001: :001:
Euh j'en fais trop là non :P Enfin merci beaucoupppp et ton message m'aide grandement ;) je vais aller embêter mon petit frère chéri dès mon retour chez moi ce soir (je suis pas là de l'aprem)
Invité
Sujet: Re: Agnès Douglas - L'Ecosse, rien que l'Ecosse ! Jeu 29 Déc - 12:18
Bienvenue parmi nous Agnès
Je suis heureux de voir ma charmante soeur arrivée x)
Bon courage pour ta fiche, si jamais tu as besoin d'aide, de détails, ou je ne sais quoi, ma porte à Mp est ouverte
Je me ferai un plaisir de rp avec toi prochainement
Elynore
♛ Arrivé(e) en Ecosse le : 28/12/2016 ♛ Messages : 515 ♛ Crédits : Zuz' ♛ Personnages principaux :
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Sujet: Re: Agnès Douglas - L'Ecosse, rien que l'Ecosse ! Jeu 29 Déc - 14:37
Georgeee merci :) Mais si je suis charmante voyons ;)
Pour ta boîte à MP elle sera bientôt pleine lol parce sue j'ai quelques questions sur les relations entre Agnès et George et Agnès et les autres membres de la famille.
Et oui je renserve un rp ;)
Invité
Sujet: Re: Agnès Douglas - L'Ecosse, rien que l'Ecosse ! Jeu 29 Déc - 15:13
Bienvenue Elynore Très bon choix de scénario et surtout d'avatar, je regarde la saison 2 de Poldark en ce moment, je trouve le minois d'Heida Reed vraiment super Bon courage pour la rédaction de ta fiche :001:
Elynore
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