♛ Arrivé(e) en Ecosse le : 05/10/2016 ♛ Messages : 571 ♛ Crédits : Laird du clan Abercromby ♛ Personnages principaux :
« Vive ut vivas »
« Souvent blessé, jamais vaincu »
« When you have the perfection by your side but it isn't enough »
Sujet: YOU ARE AN ABERCROMBY | Rosalie Baker Ven 3 Nov - 11:42
Rosalie & Fergus You're an Abercromby
J
'était atigué, que dis-je épuisé, pas physiquement mais moralement, cette année fut incroyablement rude et chargée. Le bal, ou j'ai bien faillit perdre Janet, notre mariage, le bébé, ma rupture forcée avec Edwin qui de ce fait à du quitté l'Ecosse, je n'ai en tout cas plus de nouvelles de lui. La mort de ma soeur et tout cela en plus du mal des ardent qui a terrassé mes terres, je n'ai plus rien mes métayers n'ont plus rien et je ne sais comment nous allons affronté l'hiver, qui comme chaque année sera fort rigoureux. Rajoutons à cela que Rose, ma petite Rosalie est partie après m'avoir avoué la vérité sur ses origines. Evidemment que je l'ai mal pris je n'aime pas être pris pour un imbécile mais c'était pas une raison pour qu'elle s'en aille. Je l'aimais bien Rosie. Elle mettait un peu de douceur, la douceur que mettait de son vivant ma petite soeur. Mais en même temps je la comprends elle souhaite devenir guérisseuse et son mentor est décédé, il lui faut donc trouvé un autre mentor. C'est Janet qui pensa à Frances MacKenzie, qui était la femme dont son petit frère était amoureux et qui était une très bonne guérisseuse pour son clan. Rose est donc partie, avec une lettre signée par moi-même et Janet adressée au Laird MacKenzie et à sa soeur afin de leur demander de bien vouloir prendre soin de Rose Baker, une jeune femme douce et charmante qui n'a qu'une envie, achever sa formation.
Il y a de cela quelque jour, je trainais dans mon bureau, celui de mon père, comme une âme en peine, Janet était à la fin de sa grossesse, elle était donc alitée pour le bien de l'enfant, la maison était donc effroyablement vide. Une sage femme, Murray qu'elle s'appelle, passait plusieurs fois dans la semaine pour évaluer l'état de mon épouse. Bien que je passai beaucoup de temps avec elle, la maison restait à mon sens vide, et tristement silencieuse.
Mais, alors que j'étais dans ce bureau et que je regardai les divers papiers et lettre reçues, je trouvais une lettre écrite par mon père peu de temps avec son décès. Elle se trouvais sous une lourde pile, c'est pourquoi je ne l'avais pas vue avant. Je la parcouru... la re-parcouru... En réalité je l'ai lue cinq fois avant de la présenter à Janet.
« Tu devrais aller le lui annoncer »
M'avait-elle enjoint. Quand je pense que je lui ai hurlé dessus parce qu'elle était anglaise et qu'elle ne me l'avait pas dit. J'hochais la tête, même si l'idée de laisser mon épouse seule ne m'enchantait pas.
« C'est l'affaire de deux jours maximum »
Ai-je assuré avant d'embrasser son front et son ventre puis de la quitter, inutile de trop m'encombrer, j'avais simplement besoin d'un plaid pour me protéger du froid durant la chevauchée et de la lettre.
Il me fallut le reste de la journée pour arriver au château de Leod. Je m'excusait de mon arrivée impromptue et demanda à voir Rose, pour une affaire urgente. On me fit alors patienter dans un petit salon avec un bon feu de bois, du whisky et des bannock, les MacKenzie savaient décidément bien recevoir. Nous n'avions clairement pas les même intérêt politique mais ils restaient néanmoins courtois.
« Bonsoir Rose, tu vas bien ? »
Demandais-je en me levant du fauteuil ou je m'était assi lorsque je vis la jeune fille entrer.
WILDBIRD
Invité
Sujet: Re: YOU ARE AN ABERCROMBY | Rosalie Baker Dim 5 Nov - 18:30
I'm an Abercromby
Ce fût une période vraiment difficile, et cela l'est encore d'ailleurs. J'ai dû avouer à Fergus mes vraies origines, je l'aurais fait un jour ou l'autre mais cela a été vraiment précipité . Bien évidemment il l'a très mal pris, ce que je peux comprendre, j'aurais peut-être eu la même réaction si cela avait été le cas contraire, mais je n'ai pas pu m'empêcher de me sentir un peu blessée tout de même, pas forcément de la réaction de Fergus même si elle m'a quand même blessée soyons honnête, mais surtout des personnes autour, le peu de personnes étant au courant m'ont presque considérés comme étant une traître alors que je suis tout simplement une jeune fille qui a fuit son père violent.
Ajoutons à cela, un horrible drame, mon amie, très bonne amie et professeur en même temps est décédée il y a quelques temps. J'ai été tout simplement anéantei par la nouvelle et j'ai mis beaucoup de mal à m'en remettre. Avec la mort de Cao, la personne que je considérais également comme une grande soeur, j'ai aussi perdu mon professeur et je n'ai pas fini d'achever ma formation. Fergus et sa femme ont eu la gentillesse d'envoyer une lettre aux Mackenzie pour que je puisse continuer à apprendre auprès de Frances Mackenzie, une jeune femme très charmante que j'ai rencontré alors qu'elle avait eu un petit accident. Je suis donc partie chez les Mackenzie pour apprendre à ses cotés et aussi pour voir un peu autre chose que la demeure des Abercromby, même si je les adores vraiment. J'ai besoin de voir d'autres lieux, d'autres personnes pour grandir, tout simplement.
Cela fait maintenant quelques semaines que je suis chez les Mackenzie et je suis très bien intégrée, ce sont des personnes vraiment charmantes et j'ai été très bien accueillis. Alors que je suis tranquillement dans ma chambre en train de revoir mes leçons sur les plantes, une jeune servante vient m'annoncer la venue de Fergus Abercromby. Je suis vraiment surprise mais également très contente. Je me précipite aussitôt vers le salon et sourit en le voyant juste là.
" Fergus! Je vais bien je vous remercie et vous ? Qu'est-ce qui vous amène ici ? Tout va bien ? " lui dis-je à la fois contente mais également inquiète, il est forcément ici pour quelque chose, du moins c'est ce que je pense.